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Le site SVT et ÉDUCATION de carole

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SITE DEDIÉ A MES ELEVES, AUX LIBANAIS ET A TOUS :)


CLASSE DE TERMINALE S


BANQUE DE SUJETS BAC S: POUR REVISER

 

http://catice.ac-besancon.fr/SVT/act_ped/svt_lyc/eva_bac/banque_bac_s.htm

  SITE TRESSSSSSSSSSSSSS IMPORTANTTTTTTTTTTTTTTT: POUR REVISER SVT ET AUTRES MATIERES!!!!!!!!!!!!!!!

 

http://www.le-precepteur.net/terminale/svt.php

 

  COURS  TOUSSSS LES CHAPITRES :

 

 

http://tsspesvt.over-blog.com/ext/http://pagesperso-orange.fr/larochepeltier.svt/

 

 

 

http://www.rvsvt76.com/pages/SAV_des_SVT-1727631.html

 

 

PARTIE GEOLOGIE: 

La subduction


La subduction est le phénomène géodynamique d’enfoncement de la lithosphère océanique au sein du manteau sous-jacent. Ce processus, qui caractérise les frontières de convergence entre deux lithosphères océaniques ou entre une lithosphère océanique et une lithosphère continentale, entraîne des conséquences géologiques spectaculaires concentrées le long de zones très étroites.

I – Un processus inexorable aux manifestations spectaculaires

1) Des marqueurs caractéristiques

· Les frontières convergentes en subduction sont toujours caractérisées par la présence d’une fosse océanique étroite et de grande profondeur (- 11 000 m dans la fosse des Mariannes, - 8 000 m dans la fosse du Pérou-Chili…). Elles sont, pour les 4/5 d’entre elles, localisées autour de l’océan Pacifique. Le cinquième restant correspond à la fosse de Java-Sumatra, à la fosse de Porto Rico et des Antilles, à celle des îles Sandwich du Sud, ainsi qu’à celles de la Méditerranée.
· Les subductions intra-océaniques sont jalonnées s’un arc d’îles volcaniques ; par contre, les subductions situées en bordure d’une lithosphère continentale, appelées marges continentales actives, créent des reliefs montagneux comme les Andes. Dans tous les cas, l’activité sismique et volcanique y est très importante, et le flux thermique inégalement distribué.

2) Une signature sismique

· Le plongement de la lithosphère océanique froide, dense et rigide dans le manteau sous-jacent, crée de nombreux et violents séismes jusqu’à 670 km de profondeur. Au-delà de cette limite, les roches se comportent de manière plastique et le glissement de la lithosphère océanique n’engendre plus de séismes. La distribution géométrique des foyers sismiques matérialise le plan de subduction, appelé plan de Benioff et indique l’orientation géographique du plongement de la plaque en subduction.
· L’enfoncement rapide (quelques cm/an) ne permet pas aux roches de la lithosphère océanique de se rééquilibrer thermiquement au contact de celles de l’asthénosphère. C’est donc un panneau froid et dense qui s’enfonce dans le manteau plus chaud, provoquant des anomalies de vitesse des ondes sismiques décelables en tomographie sismique. Cette méthode permet ainsi de suivre les panneaux plongeants : certains s’aplatissent en bas de l’asthénosphère vers 670 km, d’autres au contraire peuvent pénétrer bien au-delà de cette limite et descendre dans le manteau inférieur vers 2 900 km.

3) Le plongement d’une lithosphère océanique froide et dense

· Au fur et à mesure de son éloignement de l’axe de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit. L’abaissement en profondeur de l’isotherme 1 300 °C, qui marque la base de la lithosphère océanique, implique un épaississement progressif par ajout d’une semelle de manteau froid d’épaisseur croissante.
· Cette semelle de manteau froid joue le rôle de lest qui augmente progressivement la densité moyenne de la lithosphère océanique. Ainsi, dès 30 millions d’années, une lithosphère océanique à croûte mince (5 km) voit sa densité devenir supérieure à celle de l’asthénosphère sous-jacente : sa subduction devient inexorable. Cependant, bien qu’elle ait une viscosité inférieure à celle de la lithosphère, l’asthénosphère est solide ; elle exerce donc une gigantesque résistance mécanique à l’enfoncement, qui retarde souvent la subduction de plusieurs dizaines de millions d’années. L’âge de la lithosphère océanique en surface n’excède cependant jamais 180 millions d’années.
· Au cours de leur enfoncement au sein du manteau, les roches de la croûte océanique se transforment en éclogites, ce qui augmente encore la densité moyenne de la lithosphère.
· Ainsi, la force de
traction exercée par la masse de la lithosphère en subduction constitue le moteur essentiel de la tectonique des plaques.

4) Subduction intra-océanique et marge active continentale

· Une subduction intra-océanique, comme celle des Mariannes, est caractérisée par un plan de Benioff à fort pendage et l’absence de séismes de forte magnitude ; un arc d’îles volcaniques sépare la fosse d’un bassin d’arrière-arc qui s’ouvre depuis 10 millions d’années.
· Par contre la marge continentale active du Pérou-Chili montre un faible pendage du plan de Benioff, des séismes de forte magnitude et l’existence d’une chaîne de montagnes. Cette différence est à associer à l’âge de la lithosphère océanique en subduction : dans la fosse des Mariannes, l’âge de la lithosphère Pacifique est supérieur à 150 millions d’années, alors que celui de la plaque Nazca n’excède pas 40 millions d’années.

II – Les conséquences de la subduction

La subduction de la lithosphère océanique s’accompagne d’évènements sédimentaires, métamorphiques et magmatiques qui constituent autant de marqueurs supplémentaires de la subduction.

1) Les transformations minéralogiques lors de la subduction

· La lithosphère océanique en subduction constitue un poinçon froid, qui s’enfonce dans l’asthénosphère. Les basaltes et les gabbros subissent donc une faible augmentation de température et une forte augmentation de pression, qui entraîne la transformation de leurs minéraux en de nouveaux assemblages minéralogiques. Cette transformation structurale et minéralogique des roches, appelée métamorphisme, implique des réactions chimiques à l’état solide entre les minéraux. Il en résulte la formation de nouvelles roches caractéristiques des zones de subduction : les schistes bleus témoignent de la formation d’une amphibole bleue, la glaucophane, alors que les éclogites sont caractérisées par la présence de jadéite et de grenat. Ces réactions minéralogiques s’accompagnent de la libération d’eau qui percole dans le manteau de la plaque chevauchante.
· La présence de ces roches dans une chaîne de montagnes, comme les Alpes, traduit l’existence d’un ancien océan disparu par subduction. La
conservation des reliques d’éclogites au sein d’une matrice de schistes bleus permet alors de retracer les conditions dans lesquelles un lambeau de croûte océanique est descendu en subduction, a été littéralement « scalpé », puis remonté en surface au cours de l’histoire de la chaîne de montagnes.

2) Un magmatisme caractéristique

· La transformation des basaltes et des gabbros de la croûte océanique en schistes bleus et en éclogites libère de l’eau qui hydrate le manteau de la plaque chevauchante. Ce manteau hydraté est entraîné en profondeur par les courants de convection induits dans le manteau de la plaque chevauchante par le mouvement de subduction. En raison de sa richesse en eau, la fusion partielle intervient dès 1 000 °C, donnant naissance à du magma andésitique, qui remonte alimenter les réservoirs de la croûte.
· La roche volcanique typique, l’andésite, se caractérise par la présence de plagioclases et d’amphiboles. Lorsque ce magma cristallise lentement en profondeur, il donne naissance à une roche de même composition minéralogique, mais constituée de cristaux visibles à l’œil nu : la granodiorite. Dans les Andes, les gigantesques massifs de granodiorites participent à l’épaississement de la croûte continentale et à l’architecture de la chaîne de montagnes.
· Lorsque le magma évolue dans les réservoirs, il peut donner naissance à des roches volcaniques plus riches en
silicium et en potassium, appelées rhyolites.

3) Le prisme d’accrétion sédimentaire

· Lorsque la sédimentation est abondante sur la lithosphère océanique qui entre en subduction, seule une partie des sédiments glisse avec le panneau plongeant. Le reste est « raboté » par le bord rigide de la plaque chevauchante et s’accumule en écailles successives sur le versant de la fosse, édifiant ainsi un volumineux prisme d’accrétion sédimentaire.
· Dans certains cas, les sédiments, qui ne sont pas accumulés dans un prisme, peuvent modifier la composition chimique du magma andésitique. 

 

 

http://freesvt.free.fr/fiche_revision%205.html#subductionlink

   

 
** VOIR LE BAS DE LA PASGE POUR LA COLLISION

   

 

COURS:

 

http://www.mescours.info/svt.xhtml

 

 

 

 

http://www.expressbac.fr/tp-svtobl.html 

 

 

 

LIEN A PARTIR DE CETTE PAGE: 


http://www.lucieberger.org/svt/SVT%20en%20T%20S/ACC_SVT/ACC_TS.html

ALLEZ A L' ADRESSE CI-DESSOUS, C'EST TRES IMPORTANT!!!!!

http://baredcarole.over-blog.org/

LIEN TRES IMPORTANT OBLIGATOIRE ET SPECIALITE:


http://www.svtadam.com/terminale_s.htm

IMMUNOLOGIE: TRES IMPORTANT
LA REPONSE IMMUNITAIRE: COURS ET ANIMATIONS

http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/animimmuno/index.htm



http://lewebpedagogique.com/bac-s/category/svt/

PROCREATION


 


Dans l'espèce humaine, la procréation est possible dès la puberté, période au cours de laquelle les organes génitaux commencent à fonctionner. La mise en fonction des testicules ou des ovaires est due à des phénomènes physiologiques contrôlés, qui vont persister jusqu'à la ménopause chez la femme, et à l'andropause, plus tardive, chez l'homme.

I - L'activité testiculaire et sa régulation chez l'homme

1) La production de spermatozoïdes

• Les testicules produisent des spermatozoïdes qui se forment au niveau de la paroi des tubes séminifères.
• Après leur fabrication, les spermatozoïdes sont libérés dans la lumière des tubes séminifères puis transférés dans l'épididyme et enfin dans les canaux déférents. C'est à ce niveau que les spermatozoïdes seront mélangés à des liquides séminaux produits par les vésicules séminales ou la prostate pour former le sperme.

2) La sécrétion de testostérone

• Entre les tubes séminifères se trouvent des cellules endocrines proches des vaisseaux sanguins. Les cellules de « Leydig » synthétisent et libèrent dans le sang l'hormone mâle ou testostérone. A partir de la puberté, la testostérone est libérée en quantité de plus en plus importante pour atteindre une valeur maximale vers l'âge de 20 ans.
• La testostéronémie ou contraction plasmatique de testostérone reste stable chez l'homme adulte jusqu'à l'andropause, tardive (entre 60 et 70 ans), à partir de laquelle elle baisse régulièrement.

3) Le contrôle de l'activité testiculaire

• La régulation de la testostéronémie fait intervenir le complexe hypothalamo-hypophysaire.
• L'hypophyse est stimulée par des neurosécrétions hypothalamiques pulsatiles de GnRH. Cette gonadolibérine, dont la sécrétion est de l'ordre de 2 pg/mL, stimule la libération par l'hypophyse de deux hormones gonadotropes : la FSH (20 ng/mL) et la LH (30 ng/mL). La FSH stimule la spermatogénèse et la LH stimule la production de testostérone par les cellules de Leydig.
• La testostérone libérée, au-delà d'une certaine concentration, freine, voire inhibe la sécrétion de GnRH et donc de LH : il y a un rétrocontrôle négatif du complexe hypothalamo-hypophysaire. Ainsi la testostéronémie oscille en permanence autour d'une valeur moyenne de 5 ng/mL.

 



DU SEXE GENETYPIQUE AU SEXE PHENOTYPIQUE:

http://www.mescours.info/svt-Du_sexe_genetique_au_sexe_phenotypique-56.xhtml



RESUME COURS PROCREATION

 VOIR LIEN   baredcarole.over-blog.org  pour cours, animations et exercices.

 

REGULATION HORMONALE CHEZ L'HOMME:

* LA REGULATION DU TAUX DES HORMONES MALES

 

Chez l'homme, le testicule assure une double fonction :

- la spermatogénèse = production de spermatozoïdes au niveau des tubes séminifères

- la sécrétion d'une hormone stéroïde : TESTOSTERONE par les cellules interstitielles (= cellules de Leydig)

Rappel : une hormone est une molécule déversée dans le sang par une glande endocrine et qui agit sur des organes possédant les récepteurs spécifiques correspondants. Son effet est plus lent mais plus durable que l'action nerveuse.

 

ð Rôles de la testostérone :

- responsable du développement des organes génitaux et de l'apparition des caractères sexuels secondaires lors de la puberté

- indispensable à la spermatogénèse

- indispensable au maintien des caractères sexuels

 

 

Rem 1 : la testostérone est une hormone stéroïde, elle a donc une action intracellulaire.

Rem 2 : sa sécrétion se fait à taux globalement constant :

- faible chez le sujet impubère

- en augmentation importante lors de la puberté (fin du développement de l'appareil génital qui devient fonctionnel)

- constante chez l'adulte et ceci toute sa vie

ð sécrétion sous forme de pulses (= sécrétion intense séparée par de longs intervalles où la sécrétion est interrompue) : ainsi la concentration sanguine de testostérone fluctue autour d'une valeur sensiblement constante (augmentation après un pulse, diminution au fur et à mesure de la disparition de l'hormone)

 

La régulation du taux des hormones sexuelles mâles

 

          L'hypophyse commande le testicule 

Revoir le document représentant la localisation et l’anatomie du complexe hypothalamo-hypophysaire.

Le fonctionnement du testicule est stimulé par deux hormones hypophysaires : les gonadostimulines (glycoprotéines de composition voisine)

- LH (= Hormone Lutéinisante) : stimule les cellules de Leydig et donc la production de testostérone

- FSH (= Hormone Folliculo-Stimulante) : active indirectement la spermatogénèse : elle stimule, par l'intermédiaire des cellules de Sertoli, les cellules germinales, en les rendant réceptives à la testostérone

à LH et FSH sont donc nécessaires à un déroulement normal de la spermatogénèse

 

La sécrétion des gonadostimulines est pulsatile.

   à chaque pulse de LH déclenche un pulse de testostérone

 

La concentration sanguine de ces différentes hormones varie donc périodiquement.

 

Faire un schéma de synthèse

 

          L'hypothalamus contrôle l'hypophyse 

Les sécrétions hypophysaires sont elles-mêmes stimulées par une neurohormone produite par des groupes de neurones de l'hypothalamus : il s'agit de la GnRH qui est déversée dans le sang des capillaires de la tige hypophysaire de façon pulsatile : elle déclenche alors les pulses de FSH et de LH.

 

La sécrétion de la GnRH par l'hypothalamus est contrôlée par des neurotransmetteurs excitateurs ou inhibiteurs provenant de neurones pré-synaptiques issus de nombreuses régions de l'encéphale.

 

 

 

          Le contrôle du complexe hypothalamo-hypophysaire : l'importance du rétrocontrôle

 

Les gonades (testicules) sont stimulées par des hormones provenant de l'hypophyse (FSH et LH), cette glande est elle-même dépendante de l'hypothalamus. Le complexe de commande hypothalamo-hypophysaire doit donc être informé en permanence des variations du taux sanguin de testostérone par rapport à la valeur consigne pour pouvoir modifier son fonctionnement en conséquence.

 

Le testicule exerce un effet modérateur sur le système de commande hypothalamo-hypophysaire : il s'agit d'un rétrocontrôle négatif qui assure une stabilité des productions hormonales.

Une perturbation est donc automatiquement corrigée :

- s'il y a une augmentation du taux sanguin de testostérone, le rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire est important d'où la diminution de la sécrétion des gonadostimulines ce qui entraîne une moindre sécrétion de testostérone  par les testicules (cellules de Leydig) et donc un retour à la normale du taux sanguin de testostérone

- s'il y a une diminution du taux sanguin de testostérone, le rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire est faible d'où la  sécrétion importante des gonadostimulines ce qui entraîne une stimulation des testicules (cellules de Leydig) et une augmentation de la  sécrétion de testostérone et donc un retour à la normale du taux sanguin de testostérone

 

Schéma de synthèse 

 


  ANIMATIONS CYCLES DES ORGANES REPRODUCTEURS DE LA FEMME:


http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/cycles/anim_decomp/index.html


II - Les cycles sexuels chez la femme et leur contrôle

1) Le cycle utérin

• L'utérus est un organe creux destiné à accueillir un embryon résultant de la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde. La muqueuse utérine, ou endomètre, subit des modifications cycliques, dont la durée moyenne est de 28 jours. Ces modifications sont contrôlées par les sécrétions hormonales de l'ovaire.
• Le cycle débute par une dégradation de la muqueuse utérine, entraînant des hémorragies : ce sont les règles ou menstruations, qui durent généralement jusqu'au 5e jour. L'endomètre présente ensuite une phase de croissance ou phase proliférative, essentiellement sous le contrôle des oestrogènes, pendant laquelle son épaisseur augmente considérablement. Après le jour 14, correspondant à l'ovulation, on observe la phase « sécrétoire » qui va durer jusqu'au 28e jour. Cette seconde phase est contrôlée, pour l'essentiel par la progestérone, qui détermine un développement de la vascularisation de l'endomètre, et l'apparition de glandes utérines responsables de l'aspect en dentelle de la paroi utérine.
• Parallèlement, les cellules du col de l'utérus fabriquent un mucus, ou glaire cervicale, dont les mailles sont plus ou moins lâches au cours d'un cycle. Après les règles, les mailles sont très denses et la glaire est visqueuse donc s'opposent au passage d'éventuels spermatozoïdes, du vagin vers l'utérus. Lors de l'ovulation, ces mailles deviennent très lâches et la glaire est fluide donc facilite le transfert des spermatozoïdes, avant de redevenir dense pendant la phase sécrétoire.

2) Le cycle ovarien

• A la naissance, l'ovaire possède un stock déterminé d'ovocytes qui ont été formés lors de la période fœtale. Cette réserve d'ovocytes reste bloquée en première division de méiose jusqu'à la puberté. A partir de cette période et jusqu'à la ménopause (vers 50 ans) un certain nombre de follicules ovariens (formés d'un ovocyte entouré de cellules folliculaires) va évoluer pendant trois mois environ. Au cours de cette évolution l'ovocyte s'entoure d'une couche de plus en plus importante de cellules folliculaires. En général, seul un de ces follicules termine son évolution (les autres dégénèrent), au cours d'un cycle ovarien dont la durée est identique à celle du cycle utérin, soit 28 jours.
• Au cours d'une première phase qualifiée de phase folliculaire (jour 1 au jour 14, en moyenne), le follicule se creuse d'une cavité et évolue en follicule mûr de « De Graaf ». Au 14e jour du cycle, le follicule se rompt à la surface de l'ovaire et libère un ovocyte entouré de quelques cellules folliculaires qui sera récupéré par le pavillon des trompes : c'est l'ovulation. Le reste du follicule se transforme alors en corps jaune (phase lutéale) qui dégénère progressivement en l'absence de fécondation.

3) Le cycle hormonal

• L'ovaire fabrique des hormones sexuelles : les oestrogènes et la progestérone, dont la sécrétion est cyclique.
• Les oestrogènes sont synthétisés par les cellules de la thèque et de la granulosa, et leur concentration plasmatique augmente parallèlement à la croissance du follicule ou du corps jaune.
• La progestérone est libérée essentiellement par le corps jaune au cours de la phase lutéale mais également auparavant, en petite quantité, par le follicule mûr.
• La régression du corps jaune en absence de fécondation peut être corrélée à une chute de la concentration plasmatique des hormones ovariennes.
• Ces hormones ont, comme organe cible, essentiellement l'utérus et sont donc responsables de son fonctionnement cyclique. Elles agissent aussi sur les caractères sexuels secondaires.

4) Le contrôle des cycles sexuels

• La régularité des cycles implique l'existence d'un système de régulation qui fait intervenir le complexe hypothalamo-hypophysaire.
• L'hypothalamus stimule, grâce aux sécrétions pulsatiles de GnRH, la libération des hormones hypophysaires : FSH qui stimule la croissance des follicules, et LH dont le pic est responsable de l'ovulation et qui stimule les cellules lutéales du corps jaune.
• En réponse à cette stimulation hypophysaire, l'ovaire sécrète davantage d'oestrogènes au cours de la phase folliculaire. La faible concentration d'oestrogènes au début du cycle détermine un rétrocontrôle négatif à partir du 10e jour, la concentration plus élevée provoque un rétrocontrôle positif à l'origine des pics de LH et de FSH. Lors de la phase lutéale, les hormones ovariennes exercent un rétrocontrôle négatif. L'alternance de ces rétrocontrôles négatifs et positif est responsable des rythmes cycliques ovarien et utérin. Le fonctionnement de l'axe gonadotrope permet de souligner les caractéristiques d'un système de régulation : une variable réglée (concentration plasmatique d'une hormone), un système réglant (axe hypothalamo-hypophysaire) et un système réglé (les gonades).

Ainsi, le complexe hypothalamo-hypophysaire constitue avec les ovaires et les testicules, l'axe gonadotrope. Prenant en compte, à tout moment, les rétroactions exercées par les hormones ovariennes ou testiculaires et les influences des stimuli d'origine interne et externe, le complexe hypothalamo-hypophysaire apparaît comme un centre intégrateur de la fonction reproductive.


Un système complexe : interactions entre l’hypophyse et l’ovaire.€€€
1. La présence de FSH en début de cycle provoque le développement du follicule.
2. Le développement du follicule entraîne une augmentation des oestrogènes libérés.
3. Les oestrogènes libérés entraînent une inhibition de la sécrétion de LH et FSH.
4. L’augmentation des oestrogènes libérés provoquent le développement de la muqueuse utérine.
5. Lorsque le follicule atteint une certaine taille, la concentration en oestrogène est importante et provoque un pic de LH et FSH. (L’action oestradiol / LH n’est donc pas linéaire).
6. Le pic de LH déclenche l’ovulation.
7. L’ouverture/rupture du follicule lors de l’ovulation provoque la diminution de la libération d’oestrogènes et la transformation du follicule en corps jaune.
8. Le développement spontané du corps jaune, par prolifération cellulaire entraîne une augmentation de la progestérone (et des oestrogènes).
9. La présence simultanée de concentrations importantes de progestérone et d’oestrogènes bloque la production hypophysaire de LH et FSH (l’action oestradiol et progestérone / LH est donc une fonction “tordue” de deux variables). La croissance folliculaire est stoppée.
10. La progestérone agit sur la muqueuse utérine où se produit un développement de la circulation capillaire et des glandes.
11. Au bout d’une semaine, le corps jaune (en l’absence d’information en provenance de l’utérus) régresse spontanément.
12. La régression du corps jaune fait diminuer la production de progestérone, ce qui provoque les règles.
13. La diminution de la progestérone et des oestrogènes permet à la production de FSH de reprendre.
14. La présence de FSH permet le développement d’un nouveau follicule, soit l’étape 1.
C’est le point 9. Qui explique l’action de pilules oestro-progestatives.

http://ddata.over-blog.com/2/45/83/80/schema-cycle-femme.jpg
baredcarole.over-blog.org/pages/CLASSE_DE_TERMINALE_S_OBLIGATOIRE-928215.html


DE PARENTE CHEZ LES VERTEBRES:

http://www.mescours.info/svt-Recherche_de_liens_de_parente_chez_les_vertebres-33.xhtml

http://www.cnrs.fr/cnrs-images/sciencesdelavieaulycee/evolution/intro.htm

- LA LIGNEE HUMAINE:

http://www.mescours.info/svt-Lignee_humaine-38.xhtml


cours lignee humaine: http://membres.lycos.fr/renejacquemet/revisionsbac/evolution/Evoldehom.htm#hom1

icon_surprised.gif TRES IMPORTANTTTTTTTTTTT:

http://membres.lycos.fr/renejacquemet/revisionsbac/evolution/Evoldehom.htm

http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/svt/program/fichacti/fichts/chromo/debut.htm

http://hominines.portail-svt.com/

PHYLOGENE ELEVE A TELECHARGER: http://www.inrp.fr/Acces/biotic/evolut/phylogene/html/telechar.htm

LA BIPEDIE: http://www.pbs.org/wgbh/evolution/library/07/1/l_071_02.html


Synthèse: Les grandes étapes de l'hominisation:
http://membres.lycos.fr/renejacquemet/revisionsbac/evolution/Synthese.htm



Comparaison des génomes de l'homme et du singe :

http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/svt/program/fichacti/fichts/chromo/debut.htm

L'EVOLUTION DES HOMMES: FLASH TRES IMPORTANT

http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=geo-0016-3

- LES INNOVATIONS GENETIQUES:

Polyallélisme et polymorphisme

• Le brassage génétique assuré par la reproduction sexuée contribue à l’unicité génétique des individus. Mais ce brassage n’est efficace que parce que les organismes sont hétérozygotes pour de nombreux gènes. Cette hétérozygotie résulte de l’existence, au sein

des populations, de plusieurs formes d’un même gène, les allèles.

• Le polyallélisme, existence de plusieurs allèles pour un même gène, est un fait quasi général.

• Un gène est dit polymorphe lorsque deux au moins de ses allèles existent avec une fréquence supérieure à 1 %. Pour de nombreux gènes, il existe plusieurs allèles représentés avec une fréquence supérieure à 1 %.

• On estime que, dans l’espèce humaine, un tiers des gènes environ sont polymorphes.

• Un individu est hétérozygote pour 6 à 7 % de ses gènes ; sur une base de 50 000 gènes pour l’ensemble du génome humain, cela fait environ 3 000 gènes pour lesquels chacun de nous est hétérozygote.

Comme il n’y a que 23 paires de chromosomes, cela signifie que chaque paire porte de très nombreux gènes pour lesquels on trouve des allèles différents sur les deux chromosomes.

• Un allèle provient toujours d’un allèle précédent à la suite d’une mutation. Celle-ci a pour effet de modifier la séquence nucléotidique de l’allèle initial.

• La mutation est un phénomène cellulaire. Seules les mutations germinales, affectant les cellules à l’origine des gamètes, sont susceptibles de se transmettre de génération en génération, et donc de faire évoluer le pool génétique des populations de l’espèce. Les mutations somatiques, quant à elles, ne concernent que l’individu dont elles affectent les cellules et chez qui elles apparaissent, et ne se transmettent pas à la descendance.

• La fréquence moyenne des mutations germinales est comprise entre 1 et 10 pour 1000000 de gamètes fabriqués. En arrondissant à 50 000 le nombre de gènes de l’espèce humaine, cela signifie qu’au moins une personne sur cinq reçoit un nouvel allèle de l’un ou l’autre de ses parents.

 


http://www.mescours.info/svt-Les_innovations_genetiques-40.xhtml

 

 

BILAN

stabilité et variabilite des genomes et evolution
I. l’apport de l’étude des génomes : les innovations génétiques
I.1- apparition de nouveaux allèles

 

I.2- apparition de nouveaux gènes

 

Les similitudes entre gènes sont interprétées comme le résultat d’une ou plusieurs duplications (mutations ponctuelles) suivies de transpositions d’un gène ancestral . on parle alors de famille de gènes ou famille multigénique.

 

La divergence des gènes d’une même famille s’explique par l’accumulation de mutations, chaque gène pouvant suivre une évolution indépendante.

 

La formation de nouveaux gènes assure ainsi la complexification du génome.

 

Dans certains cas, ces processus peuvent conduire à l’acquisition de gènes correspondant à de nouvelles fonctions.

 

  1.3- bilan sur les innovations génétiques

 

Le polymorphisme actuel est le résultat d’innovations génétiques (duplications et/ou mutations ponctuelles) survenues dans le passé au sein des populations d’une espèce. Le génome d’1 espèce évolue ainsi au cours du temps.

 

Les innovations génétiques sont aléatoires et leur nature ne dépend pas des caractéristiques du milieu.

 

Dans les conditions naturelles, les innovations génétiques sont relativement rares, mais des facteurs aussi variés que les U.V., certaines substances (nicotine par exple)…, peuvent augmenter leur fréquence.

 

 

 

 



 

  REMARQUE IMPORTANTE:

ON PARLE DE " Familles de gènes", si > 50% de similitude entre séquences


Origine des familles multigéniques:

1- un gène ancestral
2- une duplication (= accident chromosomique aboutissant au doublement d’un gène) de ce gène ancestral : augmentation du nombre de gènes
3- une transposition de la copie à un autre endroit soit sur le même chromosome ou un autre chromosome (= séquences de nucléotides qui se déplacent sur un même chromosome ou un autre) => nouveau gène
4- une mutation (= modification au hasard de la séquence d’ADN) des différentes copies qui vont alors évoluer différemment.


GENETIQUE:

MEIOSE:   

cours:

 

Elle se marque, en particulier, dans la conservation du caryotype assurée par la reproduction sexuée, qui comprend toujours deux phénomènes fondamentaux : méiose et fécondation.
La méiose
La méiose est un ensemble de deux divisions.
La première division
Elle est précédée d’une duplication des chromosomes durant l’interphase précédente.
• Son originalité par rapport à une mitose se marque dans l’appariement des chromosomes homologues durant la prophase et leur séparation à l’anaphase sans séparation des chromatides soeurs.
• À la fin de la première division de la méiose, chacune des deux cellules filles renferme n chromosomes (cellules haploïdes), un de chaque paire et toujours formés de deux chromatides.

La deuxième division
Les chromosomes étant formés de deux chromatides, il n’y a pas de réplication de l’ADN durant l’interphase séparant les deux divisions.
• Du point de vue du comportement des chromosomes, cette deuxième division est une mitose normale affectant une cellule à n chromosomes.
• Les cellules haploïdes en fin de méiose possèdent donc un exemplaire de chaque paire de chromosomes homologues (chacun formé d’une chromatide).
 

STABILITÉ DE L’ESPÈCE

Métaphase (a) et début d’anaphase (b) d’une première division de méiose :
ce sont des chromosomes homologues formés de deux chromatides qui migrent vers les pôles du fuseau.

La fécondation
Elle s’effectue suivant des modalités diverses chez les êtres vivants. Mais, fondamentalement, elle aboutit toujours à la réunion au sein d’une même enveloppe nucléaire de deux lots complémentaires de n chromosomes reconstituant ainsi le caryotype caractéristique de l’espèce.

http://www.mescours.info/svt-Meiose__fecondation_et_stabilite_des_especes-43.xhtml


http://www.mescours.info/svt-Meiose__fecondation_et_brassage_genetique-45.xhtml


http://www.ac-orleans-tours.fr/svt/publis/g%C3%A9n%C3%A9tique/sommair.htm


http://svt.prepabac.s.free.fr/docpourcompr/brassagepartie2.htm


http://www.intellego.fr/intelleblog/Cours-de-SVT-niveau-Terminale-S/205


- BRASSAGE CHEZ LA DROSOPHILE:

http://www.slideshare.net/SIFFRAY/brassage-chez-drosophile-presentationhttp://www.svtadam.com/terminale_s.htm


COUPLAGE DES EVENEMENTS BIOLOGIQUES ET GEOLOGIQUES:


http://www.mescours.info/svt-Couplage_des_evenements_geologique_et_biologique-31.xhtml


GEOLOGIE:


http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/svt/info/actualit/fsvt30.htm#sites



CONVERGENCE LITHOSPHERIQUE:


SUBDUCTION:


http://www.mescours.info/svt-Convergence_lithospherique_et_ses_effets-16.xhtml


COLLISION: COURS A RETENIR


http://www.mescours.info/svt-La_collision_continentale-25.xhtml

      Cours:

Le procesus de subduction conduit progressivement à la disparition du plancher océanique. Lorsque cette disparition est totale, les deux masses continentales qui bordaient cet océan entrent en collision. Les alpes sont des montagnes qui resultent d'une collision continentale.Quels sont les indices que l'on retrouve dans les alpes qui permettent de montrer qu'il existait un océan et que ce dernier à disparu ?

I - Des indices de l'ouverture d'un océan alpin

A) Des indices tectoniques


A l'ouest de l'arc alpin, dans le massif du Pelvoux, il est possible de trouver des failles d'orientation Nord-Est - Sud-Ouest, qui sont en fait des failles normales. Elles traduisent une contrainte de distension et sont datées a 190 Millions d'années.

Voila donc ce qui s'est passé 190 Millions d'années auparavent:
rappel.gif


B) Des indices sédimentaires.


Rappel de la configuration de la sédimentation :
horstsed.jpg
Dans les alpes on trouve, à certains endroits, des séries sédimentaires pouvant atteindre des centaines de mètres, dans d'autres endroits tres rapprochés, elles ne font que quelques mètres. La seule explication possible à cette observation est que la sédimentation (calcaires, marne) se soit déposée a niveau des grabbens alors que les materiaux détritiques se sont déposés au niveau des horst.

Les radiolarites sont des roches sédimentaires qui proviennent de l'accumulation de tests silicieux, c'est à dire de petits organisme : les radiolaires. A leur mort, ils se déposent et se compactent. Actuellement, ces radiolaires vivent dans les plaines abyssales de plus de 4000 mètres de profondeur, donc leur présence dans les alpes témoigne qu'il y avait forcément un océan et qui était, de plus, très profond.

C) Des vestiges du plancher océanique


On retrouve actuellement dans les alpes, dans les zones médianes dans le massif du chenailler, de l'ancienne lithosphere océanique.
En effet, on trouve à cet endroit une succession de 3 types de roches:

  • Des basaltes à l'aspect de coussins qui ressemblent fortement au basalte des dorsales océanique
  • Des gabbros qui ont subi des transformations, ce sont des métagabbros, phenocristaux hornblende ou phenocristaux de clorite et actinote. Ils ont subi un métamorphisme hydrothermal.
  • De la serpentine

L'ensemble de ces 3 roches sont regroupées sous le nom d'ophiolite

Ces ophiolites sont le témoin d'une lithosphere océanique mais qui n'est jamais entrée en subduction (pas de minéraux caracteristiques)

Les ophiolites ont été datées entre -150 et -80 millions d'années et donnent une estimation de l'age de l'océan.  

II - Les traces de la fermeture de l'océan


Les métagabbros sont très présent dans les alpes. Leur étude nous permet de témoigner d'une ancienne subduction.

A) Témoins d'une subduction


Dans la zone la plus externe de l'arc alpin (ouest), on retrouve des métagabbros à hornblende, mais aussi à clorite et actinote. Ils appartiennent au faciès des schistes verts et témoignent juste d'un métamorphisme hydrothermal.
Lorsqu'on se déplace vers l'est, plus précisement vers Queyras, on trouve des mineraux comme le glaucophane, ces roches appartiennent au faciès des schistes bleus. Elles témoignent d'une augmentation de la pression et une deshydratation, or ces transformations n'ont lieu que dans les zones de subduction.
Si on se déplace encore vers l'est, on trouve cette fois des minéraux grenat et jadéite, ce sont des éclogites. Ils ne peuvent se former que suite à une deshydratation,une augmentation de la pression et de la temperature. Ces conditions ne sont réunies que dans les zones de subduction. Ils sont donc le témoin d'une subduction.

B) Une zonation du métamorphisme


Le métamorphisme est croissant d'est en ouest, il traduit le sens de la subduction. La plaque "Française" aurait plongé sous la plaque "Italienne".

C) Une partie de la croute continentale aurait entamée une subduction


On trouve dans la partie interne de l'arc alpin des roches qui possèdent un minéral particulier appellé coésite.
La coésite est un mineral de quartz qui aurait subi une très forte pression. Elle témoigne que des roches de la croute continentale auraient subi une subduction mais qui a évidemment échouée.
On a daté les metagabbros trouvés dans les alpes, leur âge correspond à l'intervalle -70 -50 millions d'années. Cette datation nous renseigne sur la période de subduction dans les alpes.
Les roches a coésites datent, elle, de -50 à -40 millions d'années, elles marquent la transition subduction/collision

III - Des indices de la collision continentale

 

A) Epaississement crustal: Témoins de la collision


Lorsque deux blocs continentaux s'affrontent, on assiste à un épaississement de la croute continentale.

a) Des reliefs positifs en surface


Lors de la colision, la lithosphère continentale, sous la contrainte de compression va tout d'abbord se fracturer et donner naissance à des écailles crustales. Elles s'empilent les unes sur les autres et donnent naissance au relief positif

b) Des reliefs négatifs en profondeur: les racines crustales


Au niveau des alpes, on aperçoit que le moho (limite entre croute et manteau) est beaucoup plus profond que d'habitude, il peut atteindre 50 Km. Il correspond à un épaississement de la croute en profondeur: la racine crustale

B) Le raccourcissement crustal


Plusieurs phénomenes sont impliqués:

  • Failles inverses, ce sont d'anciennes failles normales qui vont rejouer en failles inverses  lors de la collision
  • Un chevauchement
  • Des plissements
IV - L'évolution d'une chaine de motnagne


Le relief positif s'érode et paralellement le relief négatif a tendance à remonter.
Les chaines de montagnes disparaissent donc au cours du temps.

 

****Fiches de révision Chap convergence lithosphérique****

La convergence lithosphérique et ses effets

I- Convergence et subduction

 

Notions à savoir :

Croûte océanique, Croûte continentale, manteau supérieur ; asthénosphère ; lithosphère ; Gabbro et basalte

 

Roche grenue, Roche plutonique : diapires  de Granite  ou granitoïdes

Roche microlitique, Roche volcanique ou éruptive : andésite

Métagabbros ou métabasaltes (Schistes vert, bleu et  Eclogite) ;

Hornblende ;Glaucophane Grenat, Jadéite, …

Subduction,

 

Plan de Wadati-Bénioff,

Séismes, Foyers, failles normale et inverse

Densité,

Métamorphisme ;

Facteurs de métamorphisme : Pression ; température ; hydratation puis deshydratation

Flux thermique, Refroidissement,

Fusion partielle, Magma, Solidus ;

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Savoir et savoir-faire à connaître ou maîtriser

  • Rappeler la structure de la lithosphère océanique et continentale et savoir schématiser la lithosphère océanique (en coupe).
  • Maîtriser l’utilisation du logiciel Tectoglob
  • Indiquer les différents types de relations entre plaques.
  • Définir le terme de divergence et de convergence.
  • Connaître la morphologie globale d’une marge active.
  • Connaître les déformations géologiques témoins de la convergence.
  • Connaître les manifestations en surface de la subduction.
  • Décrire la répartition du flux de chaleur au niveau de la zone de subduction et l’interpréter.
  • Expliquer le lien entre la distribution des séismes et le plongement de la lithosphère 
  • Observation de lames minces de roches (reconnaissances de minéraux avec une fiche)
  • Connaître certaines propriétés de la lithosphère et du manteau.
  • Connaître et localiser les roches magmatiques des zones de subductionet savoir les décrire (texture, structure)
  • Connaître et localiser sur le plan de Wadati-Bénioff les roches métamorphiques d’une zone de subduction.
  • Décrire l’évolution de la lithosphère océanique.
  • Connaître les conséquences du plongement sur la structure de la lithosphère océanique.
  • Expliquer le lien entre l’augmentation de densité et le plongement de la lithosphère océanique
  • Interpréter les variations de pression et de température au niveau d’une zone de subduction.
  • Expliquer les transformations (métamorphisme) subies par les roches de la plaque plongeante et connaître les minéraux caractéristiques de ce métamorphisme.
  • Etre capable d’expliquer les transformations successives(déshydratations).
  • Expliquer le rôle de l’eau dans la fusion partielle des péridotites du manteau lithosphérique de la plaque située au-dessus.
  • Décrire les conditions de mise en place des granitoïdes et des roches volcaniques.
  • Réaliser un schéma fonctionnel d’une zone de subduction.

 

 

 

 

 


 La collision continentale.

Mots-clés : définitions à savoir

Collision Prisme de collision ; racine crustale ; déformations plastique et cassante ; nappe de charriage

 

 

 

Savoir et savoir-faire à connaître ou maîtriser

  • Connaître les structures géologiques de la col
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